samedi 7 mars 2009

Les connaissances des Mayas



Vénus était, pour les Mayas, le centre astronomique de la plus haute importance. La plupart des informations que les scientifiques possèdent sur Vénus ont été découverts par les Mayas, plusieurs milliers d'années auparavant. Les Mayas vénéraient Vénus plus que le Soleil. Ils savaient que 584 jours passaient avant que la Terre et Vénus reviennent à leur position précédente. Par rapport au Soleil, les deux planètes étaient à ce moment alignées. Pour que le Soleil, la Terre et Vénus soient alignés, le cycle prenait 2922 jours.

Pendant cette période, il arrive que Vénus ne soit pas visible de la Terre pour une petite période de temps de 8 jours. Ensuite, pendant le matin du neuvième jour, Vénus se «levait» en même temps que la Lune. C'était la position la plus importante que Vénus prend pendant le cycle de 2922 jours.

Suivant le cycle, Vénus atteint le moment où elle brille le plus, puis bouge vers l'ouest assez rapidement tout en s'éloignait de la Lune. Vénus reste visible pour 260 jours jusqu'à ce qu'elle atteigne la conjonction supérieure. Durant ce temps, Vénus est de l'autre côté du Soleil. On peut voir une petite partie de Vénus pendant ce temps, comme un croissant de Lune. 50 jours après, Vénus apparaît de l'autre côté du Soleil. 260 jours passent avec que Vénus atteigne son point le plus à l'est et tout recommence. Les Mayas avaient écrit tout ceci dans le Dresden Codex.

Les Mayas étaient influencés psychologiquement par Vénus. Ils planifiaient leurs guerres en se basant sur les points stationnaires de Vénus et de Jupiter. Les sacrifices humains massifs s'effectuaient après la conjonction supérieure quand Vénus était à sa magnitude la plus faible.

Les Mayas suivaient aussi le rythme du Soleil par rapport à la Terre. Ils savaient la route en élipse que la Terre parcourait autour du Soleil. À Chichen Itza, dans le palais, un serpent se montre pendant les deux équinoxes ce qui laisse croire que les Mayas connaissaient la position du Soleil lors des équinoxes. Les éclipses solaires étaient aussi des phénomènes auxquels les Mayas attachaient beaucoup d'importance.

Les Mayas se servaient de la Lune pour faire leurs calendriers. Les calendriers typiques des Mayas contiennent le cycle lunaire. Le cycle lunaire alternait entre 29 et 30 jours, changeant chaque mois. Comment le cycle lunaire est proche de 29.5, les Mayas avaient un calendrier assez fonctionnel. Leurs connaissances étaient assez bonnes pour qu'ils prédisent les éclipses lunaires.

Les Mayas observaient aussi le comportement de Mercure. Dû à sa forme, le cycle de Mercure varie beaucoup, de 104 à 132 jours. Ils observaient le cycle que Mercure fait autour du Soleil.

Toutes ses informations sont contenues dans le fameux Dresden Codex, un des écrit les plus complets sur l'astronomie.

En plus de l'astronomie, les Mayas avaient un alphabet complet.

vendredi 6 mars 2009

ROBERT ROBIDEAU VIENT DE MOURIR A L'AGE DE 61 ANS



Son nom n'inspire sans doute personne... et pourtant
Il fut l'un des lakotas les plus activistes lors du siège de Wounded Knee en 1975 .
Il fut acquitté lors de son procès au coté de Léonard Peltier ,et militait depuis tout ce temps pour la libération et clamer l'innocence de Léonard Peltier .

Il se réfugiait en Espagne ou il s'est éteint ,mais surtout il était l'un des derniers témoins de la "fameuse fusillade" ,son témoignage en cas de révision de procès de Léonard Peltier était capital .
IL ETAIT LE CO DIRECTEUR DU COMITE DE DEFENSE DE LEONARD PELTIER
CI JOINT VOILA CA QUE J'AI PU TROUVER SUR LUI SUR WIKIPEDIA

Les capteurs de rêve


Les capteurs de rêve
Leur forme particulière, ressemblant au tissage d'une toile d'araignée, capte les mauvais rêves et laisse passer les bons.

“Les Objibway racontent qu'une araignée appelée “Asibikaashi” protégeait les enfants de la tribus en tissant sa toile au dessus de l'endroit où ils dormaient. Les mauvais rêves, les mauvaises pensées et les mauvaises vibrations restaient accrochés dans la toile et étaient détruis par le soleil du matin. Au fil des années, la tribu grandit et les Objibway ont dû se dispersés sur leur territoire. Comme l'araignée n'était plus capable de visiter tous les wigwams elle demanda aux femmes de la nation de l'aider dans sa tâche. C'est ainsi que l'on vit apparaître le “capteur de rêve” que les femmes tissaient dans un cerceau de bois à l'aide de fibres végétales ou animals.”

Paroles indiennes


Paroles indiennes
"Je ne comprenais pas alors tout ce qui c'est achevé là. Quand je regarde maintenant vers le passé du sommet de mon vieil âge, je peux encore voir les femmes et les enfants étendus, massacrés, les corps jonchant le sol du ravin. Je les vois aussi clairement que lorsque je les ai vus avec mes yeux encore jeunes, et je peux voir qu'autre chose est mort dans cette boue sanglante, enseveli dans la tourmente de neige, le rêve d'un peuple à été brisé là. C'était un beau rêve, et moi à qui une si grande vision a été donné dans ma jeunesse, vous me voyez maintenant comme un vieil homme pitoyable qui n'a rien fait, car le cercle de la nation est brisé, il n'y a plus de centre depuis longtemps et l'arbre marqué d'une cicatrice est mort..."
Black Elk (Chef Sioux) survivant du massacre de Wounded Knee.



"Comment peut-on acheter ou vendre le ciel ou la chaleur de la terre? Cette manière de penser nous est étrangère. Si nous ne possédons pas la fraicheur de l'air ni le miroitement de l'eau, comment pouvez-vous nous les acheter?
"Seattle (chef de la tribu des Dwamish).





"Le silence n'existe pas dans vos villes, on ne peut pas y entendre le murmure des feuilles au printemps ou le bruissement des ailes des insectes. Nous préférons le bruit léger du vent qui balaye la surface d'un étang, l'odeur du vent après une pluie au milieu de la journée ou parfumé par l'odeur des pins. L'air est un bien précieux pour nous car toutes les choses partagent le même souffle de vie. L'arbre, l'animal et l'homme.
Seattle (chef de la tribu des Dwamish).

Paroles indiennes


Paroles indiennes
"Je suis né dans la prairie, là où le vent soufflait, libre, là où rien ne faisait obstacle à la lumière du soleil. Je suis né sur une terre sans clôtures où chacun respirait librement... "
Dix Ours, Chef Comanche Yamparethk



"Qu'est ce que la vie? C'est l'éclat d'une luciole dans la nuit. C'est le souffle d'un bison en hiver. C'est la petite ombre qui court dans l'herbe et se perd au coucher du soleil..."
Crowfoot (chef des Blackfeet)


"Ma main n'a pas la même couleur que la tienne, mais si je la perce, j'aurais mal. Le sang qui en coulera sera de la même couleur que le tien. Nous sommes tous deux enfants du Grand Esprit."
Standing Bear (chef des Sioux )


Peuple Indiens - Enfants de la terre


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Fier Monde: Libérez léonard Peltier!!!


Fier Monde: Libérez léonard Peltier!!!
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Cette lettre, écrite en 1993 par Léonard Pelletier, est toujours d'actualité. Incarcéré aux Etats-Unis depuis 1976, pris en charge par Amnesty International, cet Indien Lakota, ex-président de l'AIM (Américan Indin Movement) de 1993 à 1979, est aujourd'hui l'un des plus anciens prisonniers politiques de la planète.
---Le 26 juin 1975, deux agents du FBI, lancés à la poursuite d'une camionnette, pénètrent dans la réserve de Pine Ridge, Dakota du Sud. L'acte illégal, est ressenti comme une provocation par les Indiens. Les lieux n'abritent-ils pas le monument commémoratif du soulèvement de Woundee-Knee et du massacre qui s'ensuivit?
L'échange de coup de feux entre quarante activistes Indiens et 150 agents fédéraux tue trois personne : un autochtone et deux représentant du FBI.
A l'issue d'un procès bâclé, et sur le témoignage d'une vieille femme, seul Léonart Peletier est condamné. Il devra purgé une double peine de prison à perpétuité. En fait, il s'avère que le FBI désireux de trouver un coupable à tout prix, a sciemment manipulé les preuives et fait pression sur les témoins. Le télex d'un expert en balistique innocentant Léonart Pelletier n'a jamais été communiqué à la défense.
La vieille Indienne a reconnu depuis qu'elle n'avait pas assite à l'affrontement, mais qu'elle était menacée de mort par le FBI si elle ne témoigait pas.
Le procureur Lynn Crook a même admis en audience publique, le 12 septembre 1994, que le "gouvernement ne savait pas qui avait tué ses agents".
L'acteur Robert Redford, qui a produit un documentaire sur la fusillade du 26 juin 1975 (Massacre à Oglala), Amnesty Internationnal et plus de vingt millions de pétitionnaires dans le monde exigent depuis des années la révision de son procès.
Un recours en grâce a été déposé par son avocat en 1993 et Bill Clinton a admis que le dossier devait être réexaminé. En attendant, le silence continue de peser sur cet homme comme il pèse sur le sort des Indiens d'Amérique.


pour plus d'information clic ici

jeudi 5 mars 2009

LE COEUR AMÉRINDIEN.


Tout ce que fait un Amérindien, il le fait dans un cercle. Il en est ainsi parce que le Pouvoir de l'Univers opéré toujours en cercles et que Toutes choses tend à être ronde. Dans les temps anciens, lorsque nous étions un peuple heureux et fort, Notre pouvoir nous venait du cercle sacré de la nation, Et tant qu'il ne fut pas brisé, notre peuple a prospéré. Tout ce que fait le Pouvoir de l'Univers sa fait dans un cercle. Le cercle est rond et j'ai entendu dire que la Terre est ronde comme une balle Et que toutes les étoiles le sont aussi. Le vent, dans sa plus grande puissance, tourbillonne. Les oiseaux font leur nid en rond, Car leur religion est la même que la nôtre. Le soleil s'élève et redescend dans un cercle. La lune fait de même, et ils sont ronds l'un et l'autre. Même les saisons, dans leur changement, forment un grand cercle et reviennent toujours Où elles étaient. La vie d'un homme est un cercle d'enfance à enfance, et ainsi en est-il de Toute chose où le Pouvoir se meut. Aussi nos tentes étaient rondes comme les nids des Oiseaux et toujours disposées en cercle, le cercle de la nation, nid fait de nombreux nids Où nous couvions nos enfants selon la volonté du Grand Esprit...

L'homme croit quelques fois qu'il a été crée pour dominer, mais il se trompe. Il fait seulement parti d'un tout. Sa fonction ne consiste pas à exploiter, mais à surveiller, à être régisseur. L'homme n`a ni pouvoir ni privilèges seulement des responsabilités.

La vrai sagesse se trouve loin des gens, dans la grande solitude. On ne la trouve pas en s'amusant, mais en souffrant. La solitude et la souffrance ouvrent l'esprit humain et c`est là que nous devons chercher la sagesse.

Nous le savons: La terre n'appartient pas à l'homme. C'est l'homme qui appartient à la terre. Nous le savons: Toutes choses est liées tout ce qui arrive à la terre arrive aux fils de la terre. L'homme n'a pas tissé la toile de la vie, il n'est qu'un fil de tissu. Tout ce qu'il fait à la toile il la fait à lui même.

La paix ne sera pas possible entre les nations, tant qu'on ne sera pas convaincre que la véritable paix se trouve au cœur de l'âme humain. La paix! Sa recherche et sa rencontre sont dans la marche incessante vers la sagesse et le silence: C'est une des plus grandes richesses que puisse posséder un être humain.

Lorsque le dernier arbre aura été abattu que la dernière rivière aura été polluée que le dernier poisson aura été manger et que la dernière proie aura été tuée, comprendrez-vous que l`argent ne se mange pas.

La terre n'appartient pas à l`homme. C`est l'homme qui appartient à la terre. La terre est donc notre mère à tous .

Inuit Throat Singing: Kathy Keknek and Janet Aglukkaq (long)


Le chant de gorge Innuit, est chanté part les femmes Innuit qui doivent émettres les bruits avec leurs gorges en fesaient des variantes avec leurs voix et ils doivent hausser le son en allant de plus en plus vite et en finissant avec un rire comique.

Aborigènes


Les Aborigènes d'Australie n'ont pas de pétrole, mais ils ont du talent. Les blancs du monde entier s'arrachent leurs œuvres, vendues chacune plusieurs milliers de dollars. Cet engouement pour un art coutumier, perpétué de générations en générations depuis environs 60 000 an, est né dans les années 70; presque de jour au lendemain, les dessins symboliques que les Aborigènes peignaient jusque là sur leur corps, ou sur tout support naturel, rocher, paroi de grottes morceaux de bois... sont passés de l'anonymat à la prospérité.
Malgré leur gloire soudaine, les Aborigènes sont restés fidèles à leurs coutumes et à leur frères de race, dont ils partagent la vie misérable dans des baraquements sordides,en plein centre de l'Australie, continuant a chasser le kangourou (sans l'exterminer), qui sera consommé sur place, tout en fréquentant les palace internationaux. Exposant dans les grandes galeries de monde entier (New York etc...), ils ne vénèrent pas l'argent, mais Uluru, Ayers Rock, montagne sacrée des Aborigènes et plus scandaleusement haut lieu touristique, au centre australien.
Leurs œuvres ont des noms évocateur comme,Dingo rêvant, Fourmi à miel rêvant... racontent à la longueur des symboles secrets, figures géométriques, signes, spirales ou pointillé, le Temps du Rêve, qui est à la source de la mythologie aborigène.